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Athena Voitchovsky réalise un court-métrage

Autodidacte et courageuse sont deux adjectifs qui définissent assez correctement Athéna, bien que de manière assez sommaire. D’une part, cette jeune femme de 18 ans poursuit ses études gymnasiales en candidat libre, elle dessine, compose ses morceaux de piano, fait des petits boulots et de surcroît, elle s’est lancée dans la réalisation d’un court métrage. Ainsi, en parallèle de sa vie déjà bien chargée elle a mis sur pied une véritable entreprise pour développer son projet cinématographique en moins d’une année.

 


Athena a écrit le scénario, dessiné le story-board, organisé un casting, trouvé les décors et les costumes avant de filmer, elle s’est entourée d’une grande équipe afin de filmer, monter, mixer tout son projet.




A la tête d’un projet à plusieurs mains

 

Dotée d’un budget quasi inexistant, Athena a rallié une équipe de choc qui ont permis à son projet de voir le jour. Assistant réalisation, musicien, acteurs, régisseur,… Au final, son film est donc aussi devenu, un peu comme tous les films d’ailleurs, une aventure humaine faite de collaborations, d’organisation et de partage.

 

« Syndrôme de jeunesse » a été présenté à la Tour-de-Peilz le 18 mai 2024 devant un large public qui a été conquis.



Syndrôme de jeunesse est un 1er court-métrage de 25 minutes qui s’adresse à toutes les générations.

Un film criant d’honnêteté, une succession de scènes dans le quotidien d’une jeunesse en proie aux difficultés. Viol, alcool, solitude, boulimie,… Des situations dures présentées sans pathos, des faits qui s’additionnent dans ce film qui relate une réalité sombre, mais juste.

Pourtant, si « Syndrôme de jeunesse » rappelle aux moins jeunes qu’ils l’ont aussi été, il ouvre aussi la voie des possibles… à savoir qu’un mot, un regard, un geste bienveillant peuvent permettre de sauver la vie de quelqu’un comme de la tuer.

 

Pour le trailer, c'est par ici : Syndrôme de Jeunesse - Le Trailer

Et pour Insta, c'est par là : Lien Instagram Syndrôme de Jeunesse


« un pas, deux pas, trois pas, ne mettez surtout pas les pieds dans la merde, quatre pas, cinq pas, il ne faut pas que ça dur, six pas pas à pas le passé gagne sur l’avenir, et le présent celui qu’on ne ressent pas, délicieux présent, qui est constamment absent…»

 

Behind the scene...


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